jeudi 30 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
Synthèse des thèmes universités et recherche en Ile-de-France.
Après avoir lu pas mal de document en essayant de me procurer les rapports et études les plus récents concernant les universités et la recherche ainsi que leur interaction en Il-de-France, j'ai pu mettre à jour certains faits et en tirer certaines conclusion que je vais exposer sommairement ici.
D'abord, la région Ile-de-France(idf) est extrêmement bien placé en terme de développement des universités ainsi que de la recherche, en effet à elle seule cette région capitalise presque 40% des chercheurs et enseignants-chercheurs de France. Quand à ces résultats, l'idf est très bien placé au rang européen étant la 2 ème région la plus productive en terme de brevet et de publications après la région de Londres.
Concernant la part mondiale de l'idf par domaine technologique, l'idf est bien placée en pharmacie et biotechnologies avec autour de 3,5% de part mondiale des brevets et publications européennes déposées dans les années 2000.
Par contre, l'idf est face à de nombreuses difficultés, d'une part le clivage entre la recherche publique et la recherche privé qui divise recherche fondamentale et recherche appliqué.
D'autre part, les apports financiers qui vont en diminuant, avec une politique de l'état de voir les entreprises et industries compenser les apports financiers manquants.
Mais aussi un vieillissement des équipes surtout au niveau de l'enseignement et de la recherche publique.
Il ressort aussi un manque de visibilité internationale de la région à l'instar de Londres ou Munich, ainsi qu'un manque de valorisation des ressources présentes.
Dans une étude de l'IAURIF de Juin 2004, j'ai lu dans la synthèse sur le thème de la recherche en idf:
" Le maintien de l'excellence de la recherche publique francilienne passera-t-il par une concentration des efforts sur la valorisation de la recherche fondamentale et/ou par la sélection de quelques grands domaines où la recherche sera 'exécutée dans un contexte d'applications' (biotechnologies, sciences du vivant, génome...)?"
"La recherche francilienne reste un pôle d'excellence en France et en Europe mais sa position se détériore progressivement." "les différents acteurs doivent désormais faire face aux risques de délocalisation et de fuite des compétences." "La région capitale constitue certes un pôle mondial de recherche en termes de compétences mais manque de visibilité internationale, la région n'est pas suffisamment connue et reconnue à l'étranger comme une région d'excellence à la fois scientifique et technologique (...) Mais la visibilité passe probablement par la sélectivité des technologies et un positionnement clair de la région." "Les investissements de plus en plus lourd, la convergence des différentes technologies, la compétition internationale qui pose des questions de souveraineté économique devraient encourager une mutualisation des moyens et des compétences."
Tout cela montre bien que l'Ile-de-France est une région phare de la recherche en Europe et même dans le monde, mais qu'elle peine à se trouver une réelle identité et souffre aussi d'un manque de connections entre les différents acteurs de cette recherche entre le public et le privé que ce soit au niveau de l'enseignement ou de la recherche formelle.
C'est pourquoi je pense que mon scénario convient parfaitement à cette région, cela permettrait à l'idf de réellement trouver une identité dans les biotechnologies et nanotechnologies, de réunir en un seul point de nombreuses compétences articulées autour d'une même pensée: les réponses aux questions de demain sont ici.
Avec des espaces conçu autour d'une nouvelle mentalité de réflexion qui est celle de l'enseignement par le rapprochement des disciplines autour d'un projet concret avec pour base un enseignement fondamentale de qualité.
Par contre je me vois obliger d'avancer mon scénario afin de ne pas être en retard par rapport à un mouvement déjà amorce par certaines entreprises et organisme publique.
D'abord, la région Ile-de-France(idf) est extrêmement bien placé en terme de développement des universités ainsi que de la recherche, en effet à elle seule cette région capitalise presque 40% des chercheurs et enseignants-chercheurs de France. Quand à ces résultats, l'idf est très bien placé au rang européen étant la 2 ème région la plus productive en terme de brevet et de publications après la région de Londres.
Concernant la part mondiale de l'idf par domaine technologique, l'idf est bien placée en pharmacie et biotechnologies avec autour de 3,5% de part mondiale des brevets et publications européennes déposées dans les années 2000.
Par contre, l'idf est face à de nombreuses difficultés, d'une part le clivage entre la recherche publique et la recherche privé qui divise recherche fondamentale et recherche appliqué.
D'autre part, les apports financiers qui vont en diminuant, avec une politique de l'état de voir les entreprises et industries compenser les apports financiers manquants.
Mais aussi un vieillissement des équipes surtout au niveau de l'enseignement et de la recherche publique.
Il ressort aussi un manque de visibilité internationale de la région à l'instar de Londres ou Munich, ainsi qu'un manque de valorisation des ressources présentes.
Dans une étude de l'IAURIF de Juin 2004, j'ai lu dans la synthèse sur le thème de la recherche en idf:
" Le maintien de l'excellence de la recherche publique francilienne passera-t-il par une concentration des efforts sur la valorisation de la recherche fondamentale et/ou par la sélection de quelques grands domaines où la recherche sera 'exécutée dans un contexte d'applications' (biotechnologies, sciences du vivant, génome...)?"
"La recherche francilienne reste un pôle d'excellence en France et en Europe mais sa position se détériore progressivement." "les différents acteurs doivent désormais faire face aux risques de délocalisation et de fuite des compétences." "La région capitale constitue certes un pôle mondial de recherche en termes de compétences mais manque de visibilité internationale, la région n'est pas suffisamment connue et reconnue à l'étranger comme une région d'excellence à la fois scientifique et technologique (...) Mais la visibilité passe probablement par la sélectivité des technologies et un positionnement clair de la région." "Les investissements de plus en plus lourd, la convergence des différentes technologies, la compétition internationale qui pose des questions de souveraineté économique devraient encourager une mutualisation des moyens et des compétences."
Tout cela montre bien que l'Ile-de-France est une région phare de la recherche en Europe et même dans le monde, mais qu'elle peine à se trouver une réelle identité et souffre aussi d'un manque de connections entre les différents acteurs de cette recherche entre le public et le privé que ce soit au niveau de l'enseignement ou de la recherche formelle.
C'est pourquoi je pense que mon scénario convient parfaitement à cette région, cela permettrait à l'idf de réellement trouver une identité dans les biotechnologies et nanotechnologies, de réunir en un seul point de nombreuses compétences articulées autour d'une même pensée: les réponses aux questions de demain sont ici.
Avec des espaces conçu autour d'une nouvelle mentalité de réflexion qui est celle de l'enseignement par le rapprochement des disciplines autour d'un projet concret avec pour base un enseignement fondamentale de qualité.
Par contre je me vois obliger d'avancer mon scénario afin de ne pas être en retard par rapport à un mouvement déjà amorce par certaines entreprises et organisme publique.
mercredi 15 avril 2009
Textes et études sur les universités et la recherche en Ile-de-France.
Alors déjà voici les différents textes que je n'avais pas encore mis en lien et qui m'ont permis de dégager les différents faits que je vais exposer, les autres textes sont déjà en lien sur d'autres posts plus bas dans le blog:
- L'université, entre formation, recherche et entreprises.
- Mettre l'université au centre du dispositif de recherche.
- Les universités en Ile-de-France.
- Analyse régional de la relation entre formation et emploi.
- Les activités de recherche et développement en Ile-de-France.
- La recherche en Ile-de-France (que je n'ai pas fini de lire car cela fait tout de même 180 pages, mais il y a une synthèse plus que riche de 20 pages au début).
- Communiqué d'André Syrota PDG de l'INSERM le 15 Avril 2009.
- L'université, entre formation, recherche et entreprises.
- Mettre l'université au centre du dispositif de recherche.
- Les universités en Ile-de-France.
- Analyse régional de la relation entre formation et emploi.
- Les activités de recherche et développement en Ile-de-France.
- La recherche en Ile-de-France (que je n'ai pas fini de lire car cela fait tout de même 180 pages, mais il y a une synthèse plus que riche de 20 pages au début).
- Communiqué d'André Syrota PDG de l'INSERM le 15 Avril 2009.
Interview
Résumé de l'interview avec le professeur Jean-Hugues TROUVIN:
Quel est selon toi l'avenir des biotechnologies au niveau européen et mondial?
- Les biotechnologies seront probablement les technologies du futur avec une association aux nanotechnologies pour dans un futur proche voir apparaître les nanobiotechnologies.
- La biotechnologie est à notre époque ce que l'acier et son développement étaient aux 18 et 19 ème siècle.
- Il faut donc former aussi bien des étudiants aux disciplines liés aux biotechs mais aussi inscrire ces enseignements dans un réel raisonnement biologique.
- Favoriser la recherche translationnelle. (exemple: Agriculture + Génétique = OGM).
- Réunir des dizaines de compétences qui vont pouvoir travailler ensemble pour faire naître des projets adaptés au marché mondial.
Par rapport au projet campus de Christian Blanc:
- Ce n'est pas par le volume d'étudiants qu'on obtient la meilleure université.
- Dispersion des formations = dispersion des efforts.
Comment vois tu le développement d'un tel campus européen spécialisés dans les biotechs s'il était situé à Massy?
- Cela ne peut-être qu'un campus de type études supérieur (masters, thèses et doctorats).
- Un campus spécialisé européen qui fait de la formation spécialisé pour des étudiants par des travaux de recherche et développement (R&D), mais que ce soit aussi un campus qui permettent une application direct de ce qui est développé par les étudiants.
- Beaucoup de laboratoires, bibliothèque et médiathèque avec une grande importance pour les bases de données, une connectivité importante pour une gestion optimale des connaissances, salles de réunions, salles polyvalente pour workshop etc., quelques amphis (et le basique).
- Organisation avec une réelle direction de la propriété intellectuelle pour défendre les travaux engages dans le campus.
- Avoir une réelle unité de temps et de lieu, afin de faciliter les échanges et le partage des connaissances, d'où l'intérêt d'un campus sur une base anglo-saxonne.
- Un campus sélectif et spécialisés serait plus intéressant dans le schéma actuel des études françaises et européennes.
- Les études ainsi que la R&D en biotechnologies demandent beaucoup d'espace linéaire.
Quels sont les forces et faiblesses d'un tel projet:
- Probablement qu'en 2023 les sociétés de biotechs se seront déjà crées leurs propres surfaces de R&D, sauf à trouver à cette époque trouver une saturation des sites déjà existants. Donc, peut-être avancer ce projet dans le temps afin de devancer les attentes des marchés.
- Un élément sur lequel il faut miser est la réunion des connaissances ainsi que des outils dans un seul et même lieu afin d'obtenir un tissu intellectuel et de ressources le plus performant possible.
- Prévoir aussi l'apport de toute cette nouvelle masse de population qu'amènerait un tel projet dans les transports en commun. (faciliter l'accès avec paris intra-muros ainsi qu'avec l'aéroport international CDG).
En conclusion, il est souhaitable de voir se développer pour un tel projet un environnement d'échelle européenne et même mondial. Un environnement qui mélange la recherche fondamentale très orienté vers le développement et très orienté vers la valorisation de la recherche avec brevet et application direct.
Il faut donner un environnement à la fois concurrentiel et synergique.
Quel est selon toi l'avenir des biotechnologies au niveau européen et mondial?
- Les biotechnologies seront probablement les technologies du futur avec une association aux nanotechnologies pour dans un futur proche voir apparaître les nanobiotechnologies.
- La biotechnologie est à notre époque ce que l'acier et son développement étaient aux 18 et 19 ème siècle.
- Il faut donc former aussi bien des étudiants aux disciplines liés aux biotechs mais aussi inscrire ces enseignements dans un réel raisonnement biologique.
- Favoriser la recherche translationnelle. (exemple: Agriculture + Génétique = OGM).
- Réunir des dizaines de compétences qui vont pouvoir travailler ensemble pour faire naître des projets adaptés au marché mondial.
Par rapport au projet campus de Christian Blanc:
- Ce n'est pas par le volume d'étudiants qu'on obtient la meilleure université.
- Dispersion des formations = dispersion des efforts.
Comment vois tu le développement d'un tel campus européen spécialisés dans les biotechs s'il était situé à Massy?
- Cela ne peut-être qu'un campus de type études supérieur (masters, thèses et doctorats).
- Un campus spécialisé européen qui fait de la formation spécialisé pour des étudiants par des travaux de recherche et développement (R&D), mais que ce soit aussi un campus qui permettent une application direct de ce qui est développé par les étudiants.
- Beaucoup de laboratoires, bibliothèque et médiathèque avec une grande importance pour les bases de données, une connectivité importante pour une gestion optimale des connaissances, salles de réunions, salles polyvalente pour workshop etc., quelques amphis (et le basique).
- Organisation avec une réelle direction de la propriété intellectuelle pour défendre les travaux engages dans le campus.
- Avoir une réelle unité de temps et de lieu, afin de faciliter les échanges et le partage des connaissances, d'où l'intérêt d'un campus sur une base anglo-saxonne.
- Un campus sélectif et spécialisés serait plus intéressant dans le schéma actuel des études françaises et européennes.
- Les études ainsi que la R&D en biotechnologies demandent beaucoup d'espace linéaire.
Quels sont les forces et faiblesses d'un tel projet:
- Probablement qu'en 2023 les sociétés de biotechs se seront déjà crées leurs propres surfaces de R&D, sauf à trouver à cette époque trouver une saturation des sites déjà existants. Donc, peut-être avancer ce projet dans le temps afin de devancer les attentes des marchés.
- Un élément sur lequel il faut miser est la réunion des connaissances ainsi que des outils dans un seul et même lieu afin d'obtenir un tissu intellectuel et de ressources le plus performant possible.
- Prévoir aussi l'apport de toute cette nouvelle masse de population qu'amènerait un tel projet dans les transports en commun. (faciliter l'accès avec paris intra-muros ainsi qu'avec l'aéroport international CDG).
En conclusion, il est souhaitable de voir se développer pour un tel projet un environnement d'échelle européenne et même mondial. Un environnement qui mélange la recherche fondamentale très orienté vers le développement et très orienté vers la valorisation de la recherche avec brevet et application direct.
Il faut donner un environnement à la fois concurrentiel et synergique.
lundi 13 avril 2009
Campus...
Pour reprendre ma petite comparaison sur les différents campus mondiaux en terme de superficie / nombre d'élèves.
voici un article que j'ai trouvé qui parle du modèle américain transposable ou non en France.
voici un article que j'ai trouvé qui parle du modèle américain transposable ou non en France.
Paroles...
Cluster scientifique, technologique et d’innovation économique de Christian Blanc.
résumé:
- 100 000 chercheurs, élèves ingénieurs et étudiants dans les dix ans.
- Établissement public « d’un type nouveau » englobant 49 communes.
- Une gouvernance soutenue par les collectivités territoriales, les entreprises et l'état.
petit article sur le sujet
Blog traitant du plan campus
Le Snesup dénonce lui dans un communiqué du 13 novembre 2008 le projet présenté en conseil des ministres qui s’inscrit dans « une rentabilité plus économique que scientifique sur le court terme. Le déplacement, non concerté avec la communauté universitaire, de près de 100 000 étudiants, de milliers d’universitaires et chercheurs, répond à des ambitions politiciennes et ouvre une course au gigantisme (inspiré du classement de Shanghai) qui n’a rien à voir avec les missions de service public d’enseignement supérieur et de recherche ».
Comment faire pour enfin avoir une université française réellement reconnu a l'étranger comme l'une des 10 meilleures mondiales?
Doit-on imaginer de regrouper et de déformer les universités déjà existante comme le prévoit déjà certains politiques avec notamment Paris 11, ou ne serait-il pas préférable de construire un nouvel ensemble indépendant d'une nouvelle forme, peut-etre en y appliquant une partie des éléments qui ont fait le succès de certaines universités américaines, notamment la relation étroite qu'il y a entre les universités et les grandes entreprises.
Mais comment garder un tel campus dans l'esprit européen et français afin d'y garder une atmosphère de travail et de recherche peut-être moins hostile que dans certaines grandes universités des États-Unis?
Ou peut-être serait-il préférable de créer un nouveau campus bien moins ambitieux par la taille que le cluster de Christian Blanc et de ces 100 000 etudiants mais bien plus ambitieux dans les standards de qualité que l'on pourra y trouver.
résumé:
- 100 000 chercheurs, élèves ingénieurs et étudiants dans les dix ans.
- Établissement public « d’un type nouveau » englobant 49 communes.
- Une gouvernance soutenue par les collectivités territoriales, les entreprises et l'état.
petit article sur le sujet
Blog traitant du plan campus
Le Snesup dénonce lui dans un communiqué du 13 novembre 2008 le projet présenté en conseil des ministres qui s’inscrit dans « une rentabilité plus économique que scientifique sur le court terme. Le déplacement, non concerté avec la communauté universitaire, de près de 100 000 étudiants, de milliers d’universitaires et chercheurs, répond à des ambitions politiciennes et ouvre une course au gigantisme (inspiré du classement de Shanghai) qui n’a rien à voir avec les missions de service public d’enseignement supérieur et de recherche ».
Comment faire pour enfin avoir une université française réellement reconnu a l'étranger comme l'une des 10 meilleures mondiales?
Doit-on imaginer de regrouper et de déformer les universités déjà existante comme le prévoit déjà certains politiques avec notamment Paris 11, ou ne serait-il pas préférable de construire un nouvel ensemble indépendant d'une nouvelle forme, peut-etre en y appliquant une partie des éléments qui ont fait le succès de certaines universités américaines, notamment la relation étroite qu'il y a entre les universités et les grandes entreprises.
Mais comment garder un tel campus dans l'esprit européen et français afin d'y garder une atmosphère de travail et de recherche peut-être moins hostile que dans certaines grandes universités des États-Unis?
Ou peut-être serait-il préférable de créer un nouveau campus bien moins ambitieux par la taille que le cluster de Christian Blanc et de ces 100 000 etudiants mais bien plus ambitieux dans les standards de qualité que l'on pourra y trouver.
dimanche 22 mars 2009
Occupation du site
Petit diagramme pour essayer d'expliquer ce que j'envisage pour l'occupation du site.
Je voulais m'élever pour gagner en surface, en point de vue ainsi que de créer un réel 'landmark', quelque chose d'incontournable...
Je ne sais pas encore quelles proportions cela aura. J'ai réfléchi aux différents moyens de créer tout ce que je voulais et j'ai d'abord imaginer plutôt quelque chose en hauteur, mais je me suis vite repris car cela n'allait pas. Pas assez de surface linéaire (ce qui est obligatoire pour des labos, ou même des amphis, cela prend de la place), de plus je ne pense pas que cela serait très pratique comme utilisation.
Je me suis donc rabattu sur un système de dalle mais réellement percé de manière à ce que (idéalement) on puisse voir tout le monde d'où qu'on puisse se trouver.
petit essai en 3D:
Je voulais m'élever pour gagner en surface, en point de vue ainsi que de créer un réel 'landmark', quelque chose d'incontournable...
Je ne sais pas encore quelles proportions cela aura. J'ai réfléchi aux différents moyens de créer tout ce que je voulais et j'ai d'abord imaginer plutôt quelque chose en hauteur, mais je me suis vite repris car cela n'allait pas. Pas assez de surface linéaire (ce qui est obligatoire pour des labos, ou même des amphis, cela prend de la place), de plus je ne pense pas que cela serait très pratique comme utilisation.
Je me suis donc rabattu sur un système de dalle mais réellement percé de manière à ce que (idéalement) on puisse voir tout le monde d'où qu'on puisse se trouver.
petit essai en 3D:
article de l'usine nouvelle sur les BioTechs
voila un petit article faisant un peu le bilan des biotechs en Europe et surtout en France, mais bien qu'il s'agisse surtout de la production des biotechs, il est intéressant de voir que l'Europe a trop de moyens de productions mais plus assez de produits à produire, je pense donc que mon scénario s'inscrit bien dans cet enchaînement. En effet, grâce à tout un nouveau complexe d'instruction, on sera à même de trouver de nouveau produits, molecules à exploiter de maniere industriel.
vendredi 20 mars 2009
Petite études sur les campus universitaire
Etude du dévellopement et de l'organisation du synchrotron
Je poste ces petits éléments sur le Synchrotron européen pour montrer un exemple de développement et d'organisation d'un projet de recherche européen.
Cet exemple va me servir de base pour le développement et l'organisation de mon projet.
Les dates clés:
1975 Étude de faisabilité, par la Fondation Européenne de la Science, d’un synchrotron européen capable de produire des rayons X durs d’une extrême brillance.
1988 Signature entre les pays membres. Début de la construction.
1992 Premier faisceau d’électrons (en février) suivi du premier faisceau de rayons X dans une ligne de lumière (en mai).
1994 Début du fonctionnement officiel et ouverture aux utilisateurs.
1998 Fin de la période de construction. 40 lignes de lumière sont opérationnelles.
2008-2017 Programme d’extension.
Contribution des membres au budget annuel:
Pays - Contribution (%)
France - 27.5
Allemagne - 25.5
Italie - 15
Royaume-Uni - 14
Espagne - 4
Suisse - 4
Benesync (Belgique, Pays-Bas) - 6
Nordsync (Danemark, Finlande, Norvège, Suède) - 4
Contributions additionnelles:
Pays - Contribution (% - se référant à la contribution totale des membres)
Portugal - 1
Israël - 1
Autriche - 1
Pologne - 1
Centralsync (Republique tchèque, Hongrie, Slovaquie) - 1.05
Organigramme du synchrotron:
Cet exemple va me servir de base pour le développement et l'organisation de mon projet.
Les dates clés:
1975 Étude de faisabilité, par la Fondation Européenne de la Science, d’un synchrotron européen capable de produire des rayons X durs d’une extrême brillance.
1988 Signature entre les pays membres. Début de la construction.
1992 Premier faisceau d’électrons (en février) suivi du premier faisceau de rayons X dans une ligne de lumière (en mai).
1994 Début du fonctionnement officiel et ouverture aux utilisateurs.
1998 Fin de la période de construction. 40 lignes de lumière sont opérationnelles.
2008-2017 Programme d’extension.
Contribution des membres au budget annuel:
Pays - Contribution (%)
France - 27.5
Allemagne - 25.5
Italie - 15
Royaume-Uni - 14
Espagne - 4
Suisse - 4
Benesync (Belgique, Pays-Bas) - 6
Nordsync (Danemark, Finlande, Norvège, Suède) - 4
Contributions additionnelles:
Pays - Contribution (% - se référant à la contribution totale des membres)
Portugal - 1
Israël - 1
Autriche - 1
Pologne - 1
Centralsync (Republique tchèque, Hongrie, Slovaquie) - 1.05
Organigramme du synchrotron:
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